Jeu par équipes du collant en tête
Une course en jeu par équipes collant sur la tête une balle qui balance des gobelets à renverser vite vite vite
Complicité, analyse, 0 accessoire !
Le malade imaginaire (ou le psychiatre)
Un jeu de déduction où tous les participants, sauf un, sont des patients (dans leur tête). Nous parlons de malades imaginaires, nous vous rassurons, le joueur qui endosse le rôle du psychiatre doit proposer un diagnostique et identifier la maladie qui s’est abattue sur les autres joueurs. Ouf… ils sont sauvés !
- 5 - 10 joueurs
- Chacun pour soi
- Anniversaire enfant, Soirée entre amis
- Intérieur
- A partir de 8 ans
Description du jeu
On choisit tout d’abord un joueur qui jouera le rôle du psychiatre.
- On le sort de la pièce pendant 2 min.
- Pendant ce temps, les autres participants se trouvent une maladie (drôle) imaginaire.
- Quand le médecin revient, il doit poser des questions aux autres pour trouver quelle est leur maladie.
Le choix des maladies :
- Exemple 1 : les participants ont choisi de tous être amoureux du psychiatre. La subtilité devra être au rendez-vous et les symptômes d’une telle maladie promettent d’être variés.
- Exemple 2 : les participants sont tous des super-héros. Le jour, ils vivent une vie normale. La nuit, ils combatent les méchants.
D'autres idées de maladie ?
- Les garçons se prennent pour des filles, les filles se prennent pour des garçons.
- Les participants se croient aveugles.
- Impossible de répondre à une question avant d'avoir compté juste 5 dans sa tête.
- Les participants sont persuadés que le psychiatre a fait un pet qui sent mauvais, mais ce n'est pas possible de le dire.
- Les participants se prennent pour un autre joueur, chacun choisit celui qu'il veut.
- Les participants se prennent pour le psychiatre.
- Les joueurs prennent le psychiatre pour un policier, eux, ils sont des criminels.
- Chaque réponse doit contenir le nom d'un animal.
- Un bipolaire de groupe, les participants sont chacun leur tour d'humeur joyeuse puis de mauvaise humeur. On alterne une fois sur deux.
- À chaque fin de réponse, le participant se touche le nez.
- Avant de répondre, le participant regarde les pieds du psychiatre.
- Les participants doivent inclure le prénom du participant à leur gauche dans la réponse qu'ils vont fournir.
- Chacun se prend pour celui qui endosse le rôle du psychiatre.
- Chaque participant se prend pour la personne qui est à sa droite.
- Chaque personne doit commencer à répondre par oui ou par non, ensuite seulement elle peut vraiment répondre à la question.
Le jeu du psychiatre, en anglais (désolé...)
Mettez-vous en situation
Afin de plonger vos invités dans l’ambiance, n’hésitez pas à déguiser le joueur qui endosse vedette.
Plus d'exemples encore pour ce jeu du psychiatre
- Tous les joueurs se prennent pour un animal.
- Chaque joueur se comporte et parle comme s’il était dans la peau du joueur placé à sa droite.
- Chaque joueur est persuadé qu’il y a une bête sur l’épaule du médecin (une araignée, un serpent, un cafard…).
- Chaque joueur répond au psychiatre comme s’il était leur plus grand ennemi au monde. Vous le détestez, il vous révulse.
- Les patients sont incapables de prononcer des chiffres ou des nombres.
- Les malades sont tous atteints de la maladie du conteur : chacun raconte une courte histoire au lieu de répondre directement.
- Paranoïa douce : chacun croit que des objets inanimés complotent contre lui.
- Tout le monde est persuadé que c’est la fin du monde.
- Les patients sont dans un asile psychiatrique et pas dans un salon ou une pièce standard.
- Les joueurs sont incapables de parler à la première personne. Ils n’utilisent pas je ou moi, mais plutôt nous.
- Chaque joueur se comporte comme la célébrité qu’il incarne.
- Les malades apprécient particulièrement les rimes, ils ne peuvent s’empêcher d’en faire.
- Les malades sont gênés, ils sont persuadés que le psy est nu devant eux, même s’il ne semble pas s’en rendre compte.
- Les joueurs ont le syndrome de l’imitateur, ils imitent et reproduisent les gestes des autres.
- Obsession du théâtre : les patients répondent systématiquement de manière dramatique.
- Les patients mentionnent le nom d’un pays à chaque réponse.
- Chacun est persuadé d’être coincé en plein milieu du désert, dans une oasis, mais dans le désert quand même.
- Les malades sont chacun des tueurs en série, des vrais psychopathes.
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